Archive for the ‘esquisses’ Category.

Quelques croquis rapides

Voici quelques croquis rapides effectués jeudi 23 mars dans le hall  d’admission de

Mère, fille, gendre ?

Attente bureau c

Bureau des entrées

Jeune homme

la clinique où j’étais hospitalisée.

Si, d’une façon générale, quand je croque dans la rue, on vient me parler, ce ne fut pas le cas pendant l’heure où j’ai croqué, sans doute parce que les personnes qui vont être hospitalisées ou qui sortent ont autre chose à penser. Quant à moi, je ne pensais pas que je mourais de soif !

 

Attente

les jeunes parents

 

 

37 ième sketchcrawl

Noelie

Une partie des croqueurs

Hier 13 ocobre se déroulait le 37 ième sketchcrawl. Entraînés par Christine l’organisatrice, nous nous sommes retrouvés à Voiron  à un peu moins d’une quinzaine.  Nous avons croqué le marché, les gens, les petite filles, le parc, les caves et l’alambic de la fabrique de la Grande Chartreuse.

 

Cathy, Pierre et le platane plus que centenaire

 

Pour voir tous les résultats : http://www.sketchcrawl.com/forum/index.php.

 

Le marché de Voiron

                    

 

 

 

 

Pauline

 

Deux journées d’octobre

Le temps splendide de vendredi dernier (5 octobre) incitait à aller se balader en montagne. Comme l’on voyait le Mont Blanc depuis Corenc, cela n’annonçait pas du beau temps, alors autant en profiter. Deux  pochades, l’une montrant Chamechaude, l’autre une grange au Churut avec vue sur l’Ecoutou datent cette très belle journée.

Grange du Churut

Chamechaude

 

 

 

 

 

 

 

Le dimanche 7 octobre l’Association des Peintres Amateurs Meylanais (APAM) fêtait son 15 ième anniversaire. Au menu exposition de tableaux des peintres, ateliers d’aquarelle, pastels, modelage, danses, musique… La prédiction du vendredi fut bonne, heureusement l’après-midi fut plus clément et le succès assuré. Je fis quelques croquis aquarellés pendant les séances de musique du groupe « Meylan Folk » ou de flûtes traversières.

Accordéons (Meylan Folk)

 

Flûte traversière et spectateurs

 

 

Marathon international du croquis ou Sketchcrawl

Pierre

 C’est à l’initiative de Christine que le premier sketchcrawl a été lancé à Grenoble (21/01/2011). Nous en sommes donc ce 21 avril à notre deuxième sketchcrawl ce qui correspond au 35 ième du fondateur1. Dix-huit participants : Patricia, Denise, Frédérique, Catherine, Christine, Marie-Claude, Jérémie, Paul, Véronique, Pierre, Claudine, Valérie, Frank et ses deux filles, Marie-Carmen, Anne-Laure et moi-même ont croqué le parc de l’Ile verte, les bords de l’Isère, la montée de Chalmont et la place de Verdun.

Vu du parc de l'Ile verte

 

L'Isère et le quartier St laurent

 

Le lion de la montée Chalmont

 

 

Place de Verdun

 

1C’est Enrico Casarosa qui a lancé l’idée originale de marathon international du croquis, le Sketchcrawl. A une date déterminée par son fondateur, tous les dessinateurs du monde entier se retrouvent dans leur ville ou leur village pour une journée entièrement consacrée au croquis. Le lendemain, les participants de chaque pays postent leur croquis et l’on peut ainsi regarder ce que des sketchcrawlers des quatre coins du monde ont dessiné.

Pour voir ce que les sketchcrawlers des quatre coins du monde ont dessiné  voir le site Sketchcrawl.

Dernier jour, dernière heure ou presque…

Le printemps des aquarellistes 2010 de Morestel a fermé ses portes hier à 18 h 30. Ouf ! J’y  suis allée à temps et ai pu voir de très belles aquarelles de 7 aquarellistes Michel Montigné (invité d’honneur), Alain Bidault, Didier Brot, Robert Chalayer, Marie-Jeanne Fabry, Josette Marrel et Pascal Pihen. Jacques Rollet (pastel) et Nathalie Petit (sculpteur) étaient aussi représentés à  Picture Halles. La Tour médiévale accueillait  les aquarellistes chinois Wen ming Xin et Cao Bei An. J’ai rencontré aussi Cao Bei-An qui m’a présenté comme une de ses élèves et Alain Bidault, qui s’occupe du 22° salon de peinture au Sappey en Chartreuse (3 au 25 juillet 2010, salle de la Jacobine, galerie de Chartreuse).

Deux expos à Paris : « Turner et ses peintres », « Lucian Freud ».

Vraiment, l’exposition « Turner et ses peintres » au Grand Palais  vaut le coup : plus que quelques jours. il faut rester longtemps dans la dernière salle et même commencer par elle (moins de visiteurs). Turner au summum  de son art. Peut-être à cause de son expérience ou bien à la fin de sa vie, du fait qu’il voyait moins bien, ses dernières peintures, noyées de lumière, sont à la limite de l’abstrait


Lucian Freud au Centre Pompidou : peintre contemporain spécialiste du portrait et du nu (la chair).  Voici sa réflexion sur l’autoportrait.

«  La façon dont on se présente impose que l’on s’efforce de se peindre soi-même comme si l’on était une autre personne. Dans le cas de l’autoportrait la « ressemblance » devient quelque chose de différent. Je dois faire ce que je ressens sans être expressionniste. » LF

Beaucoup  moins de visiteurs que pour Turner, donc  on a tout  loisir de regarder. En outre, j’adore  le Centre Pompidou : j’aime beaucoup en vrac : l’architecture, l’escalier roulant, la vue sur Paris, le foisonnement d’expos, la place extérieure et ses manches à air, les passants et badauds, le quartier, la vie … Il y avait longtemps que je n’y étais  pas allée.

Une aquarelle (Paris vue de Beaubours 36 x 51) à partir de deux croquis et d’une photo.

Paris vu de Beaubourg

C’est l’hiver

C’est l’hiver depuis un jour et pourtant, curieusement, le temps s’est radouci. La semaine dernière les températures frôlaient les -15°C en montagne et il ne faisait pas bon peindre dehors.

Ci-joint deux paysages représentatives de  » mon village  » et de « ma montagne », aquarelles (dimensions 21 x 30) peintes, si l’on peut dire, sur le motif,  la vitre de la fenêtre me séparant du froid ambiant, le premier par temps à la neige, le deuxième, un jour plus tôt,  par temps ensoleillé.

Lumières sur la ville

Pizzeria et restaurants bordent le quai Xavier Jouvin sur la rive droite de l’Isère. Le quai  fait partie du quartier Saint Laurent, un des  plus anciens de la ville de Grenoble. Le soir, les lumières des restaurants éclairent les immeubles et se reflètent dans la rivière.

Aquarelles format carte postale (10 x 17)

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24 ème salon d’automne de Crémieu

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Poussée par Yves qui exposait et Dominique, je me suis inscrite au 24 ème salon d’automne de Crémieu J’ai beaucoup hésité car je ne me voyais pas concourir au milieu de peintres célèbres (c’est un salon ouvert aux professionnels comme aux amateurs). Ce qui m’a décidé, c’est que l’invité d’honneur, Emmanuelle Paolillo, est une aquarelliste, ce qui est assez rare pour être souligné.

Les prix furent remis lors du vernissage samedi sous forme de médailles (2 or, 2 argent, 2 bronze) ou de prix (du salon, originalité) et des mentions d’encouragement (coup de cœur…)

Je présentais 3 aquarelles, le jury magnanime me donna la médaille de bronze.

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Quant à Yves, il reçut la médaille d’or, prix très mérité.

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Le portrait

Etienne Souriau dans son Vocabulaire d’esthétique (Paris, P.U.F., 1990, pp.1161-1162), propose une définition très complète du portrait. Voici celle appliquée aux arts plastiques :

« Dans les arts plastiques, on n’emploie pas le terme de portrait pour la sculpture, et pourtant la chose y existe, mais on dit tête, buste ou statue ; portrait se dit pour une œuvre en deux dimensions, peinture ou dessin. Le portrait est donc déjà une interprétation et transcription, donc choix, pour rendre l’apparence extérieure d’une personne, quel que soit le degré de réalisme. Bien qu’uniquement visuel, le portrait peut rendre très sensible la personnalité intérieure du modèle, par de nombreux indices tels que la pose, l’expression de la physionomie, etc. »

Voici les portraits spontanés et informels (ce que permet l’aquarelle) de deux amies. Je suis assez contente du résultat, (même si M. ne se reconnaît pas !! ), car j’ai l’impression d’avoir rendu leur personnalité.

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En janvier 2007, j’avais fait un exposé à l’APAM, suivi d’exercices pratiques avec un modèle sur le sujet suivant « peindre l’ombre et la lumière à l’aquarelle, application au portrait » et avait analysé la façon de peindre les portraits d’un certain nombre d’aquarellistes dont Michel Bernard, Patrick Jager, Skip Lawrence, Wen Ming Xin, Jean-Louis Morelle, Frank Nofer, Charles Reid, Gottfried Riekert, Mel Stabin, Frank Webb. Bien entendu, j’en avais oublié beaucoup dont Maryse de May et bien d’autres qui sont révélés peu à peu par le magazine français«  Aquarelle ». Certains ont écrit des ouvrages de référence dont on peut voir les titres à la page bibliographie de ce site.

Il m’est venu à l’idée…

Il m’est venu à l’idée de me balader dans le vieux Grenoble et de redécouvrir des lieux historiques un peu déserts (quelques touristes quand même) en ce moment. Vieux ! Enfin, pas si vieux que cela car tout est rénové ou en passe de l’être et ce qui était presque insalubre il y a une vingtaine d’années est en train de devenir le lieu de résidence des bobos grenoblois. En ce début d’août, il est facile de se poser sur une petite place ombragée et de faire loin des yeux curieux une petite aquarelle tout en dégustant un café. Je suis maintenant équipée d’une petite boîte d’aquarelle, d’un pinceau synthétique à réserve d’eau, d’un petit récipient, d’un stylo à bille, d’un papier aquarelle  anglais(30,5 x 22,9) et de feuilles de papier de format A4, le tout voisinant avec les pêches du marché dans mon cabas.

Voici le résultat de 3 petites matinées.

Deux de ces quatre aquarelles ne sont que des esquisses faites sur papier 60 g/m2 et à la va-vite, ce qui fait que les verticales sont tout sauf verticales!